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Constanze Weber
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Constanze Weber
J'ignore si sa vie intéressera beaucoup de monde mais à mon sens elle mérite d'être connue, alors voici sa biographie, rédigée par mes soins et selon diverses sources 
Maria Constanze Caecilia Josepha Aloisia Johanna Weber naît à Zell im Wiesental en Allemagne le 5 Janvier 1762. Elle est la fille d’un pauvre musicien et copiste de la Cour, Franz Fridolin Weber, et de sa tyrannique épouse, Maria Caecilia Cordula Weber, née Stamm. Elle est la cousine du compositeur Carl Maria von Weber. Quatrième enfant et troisième fille de la famille, elle est selon les témoignages de ses proches une petite fille moins jolie que ses sœurs Josefa, Aloysia et Sophie, mais dotée de quelques charmes et d’un exceptionnel talent de chanteuse.
Elle grandit avec ses sœurs et ses parents à Mannheim où elle mène une vie simple. Peu aimée par sa mère, elle s’entend bien avec son père et ses sœurs, et notamment Sophie, d’un an sa cadette. Peu de choses subsistent de son enfance et de son adolescence. Elle rencontre Wolfgang Amadeus Mozart en 1777 alors que celui-ci entreprend un voyage en Europe jusqu’à Paris avec sa mère. Elle assiste aux fiançailles du jeune compositeur et de sa sœur jusqu’au départ de Mozart pour Paris. En 1778, les Weber doivent partir pour Munich où Constanze retrouve Wolfgang, venu voir Aloysia qui rompt les fiançailles en le raillant sur sa tenue. C’est la dernière fois que Constanze le revoit avant qu’il ne s’installe dans l’auberge Weber. La même année, la famille Weber quitte Munich pour Vienne où elle occupe l’auberge A l’Œil de Dieu, dirigée d’une main de fer par Caecilia Weber. Constanze y devient l’employée de sa mère, aidée par son aînée Josefa et sa cadette Sophie, Aloysia étant partie pour se marier avec le peintre et chanteur Josef Lange. En 1779, Constanze perd son père.
Mozart arrive à Vienne en 1781 et retrouve les Weber en logeant dans leur auberge sur la Petersplatz. A force de côtoyer le compositeur, une idylle naît entre lui et Constanze. Ils se fiancent et sont victimes d’un chantage de la mère Weber : Wolfgang Mozart doit épouser Constanze sous les trois ans sinon il paiera une rente de 300 florins à Caecilia. Après plusieurs complots de sa mère et de son tuteur, Johann Thorwart, et grâce à l’aide de la Baronne Martha Walstätten, Constanze et Wolfgang se marient le 4 août 1782 au Stephansdom de Vienne.
Contrairement aux dires de plusieurs historiens et spécialistes de Mozart, l’union fut très heureuse et celui-ci resta fidèle à son épouse, leurs soucis financiers et de santé n’étant pas propices à des tromperies. En outre, les lettres de Mozart évoquant son épouse montrent l’amour réel et sincère qu’il éprouvait pour elle. De leur union naquirent six enfants, dont deux seulement survécurent :
- Raimund Léopold Mozart (1783)
- Karl Thomas Mozart (1784-1858), qui ne se marie pas mais reconnaît une fille naturelle, Constance, morte sans postérité en 1833
- Johann Léopold Mozart (1786)
- Theresia Mozart (1787)
- Anna Mozart (1789)
- Franz Xaver Wolfgang Mozart (1791-1844), il meurt sans postérité
Victime de commérages et de quolibets, Constanze est très mal perçue de ses contemporains et des historiens actuels. Beaucoup la représentent comme une femme feignante, en permanence couchée et dépensière, alors qu’elle se cousait elle-même ses robes, se coiffait seule et ne dépensait que le stricte minimum pour son mari et ses enfants. Fatiguée par ses grossesses, elle avait des ulcères variqueux aux jambes qui la clouaient souvent au lit et lui imposaient des cures à Baden. En outre, beaucoup l’ont accusée d’avoir trompé son mari avec l’élève de celui-ci, Franz-Xaver Süssmayer (l’oreille déformée de son dernier fils, et identique à celle de Mozart prouveront la fausseté des accusations à son égard !) ainsi que d’être d’une stupidité la rendant ignorante du génie de son mari. Il est à noter que Constanze parlait couramment trois langues, fréquentait d’importants et réputés personnages tels que Casanova, Beethoven ou Haydn, et chantait merveilleusement (Mozart avait un grand sens de la musique et ne supportait pas la médiocrité, il n’aurait jamais laissé à sa femme le soin d’interpréter l’un de ses morceaux en public, surtout devant sa sœur et son père, si elle n’avait pas su chanter).
Lorsque Mozart meurt en 1791, il laisse Constanze, âgée de 29 ans, couverte de dettes avec deux enfants en bas âge à charge. Elle confie ses fils à des amis à Prague et entame un long combat afin de faire reconnaître post-mortem le talent de son mari défunt, n’hésitant pas à user et abuser des remords des détracteurs de Mozart, dont Salieri (qui devint finalement le professeur de ses fils). Elle remonte peu à peu la pente, Constanze entame une tournée en Europe et monte sur scène pour chanter le répertoire de Wolfgang, souvent en compagnie de sa sœur Aloysia, alors divorcée et en dépression. Nombreuses sont les personnes qui applaudissent son talent, dont l’Empereur Léopold II.
En 1809, Constanze épouse Georg Nikolaus von Nissen, un diplomte Danois fasciné par Mozart et homosexuel, avec qui elle vit depuis plusieurs années. Ils se rendront mutuellement service : elle aidera Nissen à rédiger la première biographie de Mozart et lui par ses penchants sexuels permettra à Constanze malgré leur mariage de rester fidèle à son premier époux. Ensemble ils vivent à Copenhague pendant 10 ans et voyagent dans toute l’Europe, notamment en Italie et en Allemagne. En 1824, ils retournent vivre à Salzbourg et y rédigent leur biographie de Mozart, qui paraît en 1828, deux ans après la mort de Nissen.
Veuve deux fois, âgée, Constanze s’installe à Salzbourg avec sa sœur cadette, Sophie, veuve elle aussi. Elle est presque voisine de sa belle-sœur, Nannerl, avec laquelle elle ne s’est jamais entendue et qui ne l’a jamais aidée, même après la mort de Mozart. Elle meurt à l’âge de 80 ans le 6 mars 1842, quelques jours seulement avant qu’une statue de Mozart soit érigée proche de chez elle, et selon l’une de ses demandes.
Constanze est enterrée au cimetière St Sebastian Friedhof de Vienne, dans la même tombe que Léopold Mozart, son beau-père qui la haïssait ; Georg Nikolaus Von Nissen, son second mari ; Jeannette Berchtold zu Sonnenburg, sa nièce et fille de Nannerl ; Genova Brenner von Weber, sa tante et la mère de Carl-Maria von Weber et Euphrosia Pertl, une soeur (ou cousine) de la mère de Wolfgang. Ironie du sort, la place dans cette tombe était convoitée par Nannerl, la sœur de Mozart, mais Constanze a imposé sa volonté et l’a obtenue.
Son combat pour protéger les œuvres et le talent de son mari semblait peine perdue mais elle est parvenue à faire reconnaître le génie de Mozart, chose qu’il n’avait pu faire de son vivant, boudé par les Viennois. C’est Constanze qui a permis que l’on écoute aujourd’hui du Mozart, en protégeant ses œuvres à une époque où les droits d’auteur n’existaient pas, nous lui devons également les statues du compositeur érigées à Vienne et l’ouverture du Mozateum de Salzbourg.
Source

Maria Constanze Caecilia Josepha Aloisia Johanna Weber naît à Zell im Wiesental en Allemagne le 5 Janvier 1762. Elle est la fille d’un pauvre musicien et copiste de la Cour, Franz Fridolin Weber, et de sa tyrannique épouse, Maria Caecilia Cordula Weber, née Stamm. Elle est la cousine du compositeur Carl Maria von Weber. Quatrième enfant et troisième fille de la famille, elle est selon les témoignages de ses proches une petite fille moins jolie que ses sœurs Josefa, Aloysia et Sophie, mais dotée de quelques charmes et d’un exceptionnel talent de chanteuse.
Elle grandit avec ses sœurs et ses parents à Mannheim où elle mène une vie simple. Peu aimée par sa mère, elle s’entend bien avec son père et ses sœurs, et notamment Sophie, d’un an sa cadette. Peu de choses subsistent de son enfance et de son adolescence. Elle rencontre Wolfgang Amadeus Mozart en 1777 alors que celui-ci entreprend un voyage en Europe jusqu’à Paris avec sa mère. Elle assiste aux fiançailles du jeune compositeur et de sa sœur jusqu’au départ de Mozart pour Paris. En 1778, les Weber doivent partir pour Munich où Constanze retrouve Wolfgang, venu voir Aloysia qui rompt les fiançailles en le raillant sur sa tenue. C’est la dernière fois que Constanze le revoit avant qu’il ne s’installe dans l’auberge Weber. La même année, la famille Weber quitte Munich pour Vienne où elle occupe l’auberge A l’Œil de Dieu, dirigée d’une main de fer par Caecilia Weber. Constanze y devient l’employée de sa mère, aidée par son aînée Josefa et sa cadette Sophie, Aloysia étant partie pour se marier avec le peintre et chanteur Josef Lange. En 1779, Constanze perd son père.
Mozart arrive à Vienne en 1781 et retrouve les Weber en logeant dans leur auberge sur la Petersplatz. A force de côtoyer le compositeur, une idylle naît entre lui et Constanze. Ils se fiancent et sont victimes d’un chantage de la mère Weber : Wolfgang Mozart doit épouser Constanze sous les trois ans sinon il paiera une rente de 300 florins à Caecilia. Après plusieurs complots de sa mère et de son tuteur, Johann Thorwart, et grâce à l’aide de la Baronne Martha Walstätten, Constanze et Wolfgang se marient le 4 août 1782 au Stephansdom de Vienne.
Contrairement aux dires de plusieurs historiens et spécialistes de Mozart, l’union fut très heureuse et celui-ci resta fidèle à son épouse, leurs soucis financiers et de santé n’étant pas propices à des tromperies. En outre, les lettres de Mozart évoquant son épouse montrent l’amour réel et sincère qu’il éprouvait pour elle. De leur union naquirent six enfants, dont deux seulement survécurent :
- Raimund Léopold Mozart (1783)
- Karl Thomas Mozart (1784-1858), qui ne se marie pas mais reconnaît une fille naturelle, Constance, morte sans postérité en 1833
- Johann Léopold Mozart (1786)
- Theresia Mozart (1787)
- Anna Mozart (1789)
- Franz Xaver Wolfgang Mozart (1791-1844), il meurt sans postérité
Victime de commérages et de quolibets, Constanze est très mal perçue de ses contemporains et des historiens actuels. Beaucoup la représentent comme une femme feignante, en permanence couchée et dépensière, alors qu’elle se cousait elle-même ses robes, se coiffait seule et ne dépensait que le stricte minimum pour son mari et ses enfants. Fatiguée par ses grossesses, elle avait des ulcères variqueux aux jambes qui la clouaient souvent au lit et lui imposaient des cures à Baden. En outre, beaucoup l’ont accusée d’avoir trompé son mari avec l’élève de celui-ci, Franz-Xaver Süssmayer (l’oreille déformée de son dernier fils, et identique à celle de Mozart prouveront la fausseté des accusations à son égard !) ainsi que d’être d’une stupidité la rendant ignorante du génie de son mari. Il est à noter que Constanze parlait couramment trois langues, fréquentait d’importants et réputés personnages tels que Casanova, Beethoven ou Haydn, et chantait merveilleusement (Mozart avait un grand sens de la musique et ne supportait pas la médiocrité, il n’aurait jamais laissé à sa femme le soin d’interpréter l’un de ses morceaux en public, surtout devant sa sœur et son père, si elle n’avait pas su chanter).
Lorsque Mozart meurt en 1791, il laisse Constanze, âgée de 29 ans, couverte de dettes avec deux enfants en bas âge à charge. Elle confie ses fils à des amis à Prague et entame un long combat afin de faire reconnaître post-mortem le talent de son mari défunt, n’hésitant pas à user et abuser des remords des détracteurs de Mozart, dont Salieri (qui devint finalement le professeur de ses fils). Elle remonte peu à peu la pente, Constanze entame une tournée en Europe et monte sur scène pour chanter le répertoire de Wolfgang, souvent en compagnie de sa sœur Aloysia, alors divorcée et en dépression. Nombreuses sont les personnes qui applaudissent son talent, dont l’Empereur Léopold II.
En 1809, Constanze épouse Georg Nikolaus von Nissen, un diplomte Danois fasciné par Mozart et homosexuel, avec qui elle vit depuis plusieurs années. Ils se rendront mutuellement service : elle aidera Nissen à rédiger la première biographie de Mozart et lui par ses penchants sexuels permettra à Constanze malgré leur mariage de rester fidèle à son premier époux. Ensemble ils vivent à Copenhague pendant 10 ans et voyagent dans toute l’Europe, notamment en Italie et en Allemagne. En 1824, ils retournent vivre à Salzbourg et y rédigent leur biographie de Mozart, qui paraît en 1828, deux ans après la mort de Nissen.
Veuve deux fois, âgée, Constanze s’installe à Salzbourg avec sa sœur cadette, Sophie, veuve elle aussi. Elle est presque voisine de sa belle-sœur, Nannerl, avec laquelle elle ne s’est jamais entendue et qui ne l’a jamais aidée, même après la mort de Mozart. Elle meurt à l’âge de 80 ans le 6 mars 1842, quelques jours seulement avant qu’une statue de Mozart soit érigée proche de chez elle, et selon l’une de ses demandes.
Constanze est enterrée au cimetière St Sebastian Friedhof de Vienne, dans la même tombe que Léopold Mozart, son beau-père qui la haïssait ; Georg Nikolaus Von Nissen, son second mari ; Jeannette Berchtold zu Sonnenburg, sa nièce et fille de Nannerl ; Genova Brenner von Weber, sa tante et la mère de Carl-Maria von Weber et Euphrosia Pertl, une soeur (ou cousine) de la mère de Wolfgang. Ironie du sort, la place dans cette tombe était convoitée par Nannerl, la sœur de Mozart, mais Constanze a imposé sa volonté et l’a obtenue.
Son combat pour protéger les œuvres et le talent de son mari semblait peine perdue mais elle est parvenue à faire reconnaître le génie de Mozart, chose qu’il n’avait pu faire de son vivant, boudé par les Viennois. C’est Constanze qui a permis que l’on écoute aujourd’hui du Mozart, en protégeant ses œuvres à une époque où les droits d’auteur n’existaient pas, nous lui devons également les statues du compositeur érigées à Vienne et l’ouverture du Mozateum de Salzbourg.
Source
Constanze-Athénais Weber- Banneret
- Messages : 359
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Constanze Weber
Avec plaisir! 
Constanze âgée de 19 ans, dessinée par Josef Lange, son beau-frère (le mari d'Aloysia)
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Constanze peinte (peinture à l'huile) par son beau-frère, Josef Lange (elle était déjà mariée sur le portrait)
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Constanze et son époux, Wolfgang Mozart
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Constanze (âgée d'environ 40 ans) qui tient les oeuvres de son mari dans les mains
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Les fils survivants de Wolfgang et Constanze : Karl Thomas et Franz Xaver Wolfgang :
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Constanze à l'âge de 64 ans
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La tombe de Constanze, avec son second mari, son beau-père, sa nièce, sa tante et sa grande-tante par alliance
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Constanze âgée de 19 ans, dessinée par Josef Lange, son beau-frère (le mari d'Aloysia)
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Constanze-Athénais Weber- Banneret
- Messages : 359
Date d'inscription : 14/07/2010
Re: Constanze Weber
Remarquable ces illustrations.
Francis- Banneret
- Messages : 389
Date d'inscription : 29/11/2009
Localisation : Voisins le bretonneux (78)
Constanze WEBER
Bonjour,
je souhaiterais connaitre si cela est possible vos sources quand vous écrivez que Constanze Weber rencontrait CASANOVA est-ce vérifiable ou non ?
Par ailleurs j'ai apprécié votre biographie,
Merci beaucoup.
Christian.
je souhaiterais connaitre si cela est possible vos sources quand vous écrivez que Constanze Weber rencontrait CASANOVA est-ce vérifiable ou non ?
Par ailleurs j'ai apprécié votre biographie,
Merci beaucoup.
Christian.
iafrate- Messages : 3
Date d'inscription : 14/07/2014
Re: Constanze Weber
Bonjour Christian,
merci de faire votre présentation pour dialoguer sur le forum.
Oui, c'est vérifiable.
merci de faire votre présentation pour dialoguer sur le forum.

Oui, c'est vérifiable.
Invité- Invité
Constanze WEBER
Mon message d'avant hier n'est pas visible sur le site, je vais essayer aujourd'hui.
Je suis Antiquaire et j'expertise un tableau de la fin du 18° Siècle et, j'ai besoin de faire un rapprochement entre Constanze WEBER, ou Mozart et CASANOVA mais de façon certaine et historique.
C'est la raison pour laquelle je vous demandais vos sources, vous m'indiquez que vos sources existes quelles sont elles ?
Si vous voulez ne pas les indiquer, je le comprendrais très bien et les lecteurs de ce site aussi.
IAFRATE.
Je suis Antiquaire et j'expertise un tableau de la fin du 18° Siècle et, j'ai besoin de faire un rapprochement entre Constanze WEBER, ou Mozart et CASANOVA mais de façon certaine et historique.
C'est la raison pour laquelle je vous demandais vos sources, vous m'indiquez que vos sources existes quelles sont elles ?
Si vous voulez ne pas les indiquer, je le comprendrais très bien et les lecteurs de ce site aussi.
IAFRATE.
iafrate- Messages : 3
Date d'inscription : 14/07/2014
Re: Constanze Weber
Iafrate, je vous ai envoyé un MP (regardez votre messagerie sur le forum) pour répondre à votre question. L'avez-vous reçu?
Invité- Invité
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