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Le Louvre, Paris
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Le Louvre, Paris
Les arts décoratifs de Louis XIV à Louis XVI au Louvre
Le Louvre ouvre de nouvelles salles consacrées aux arts décoratifs de Louis XIV à Louis XVI, à partir du 6 juin. Des collections uniques au monde sur l’art de vivre à la française aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Une collection unique. Fermées il y a 10 ans, pour travaux de mise aux normes techniques, les 33 salles des objets d’art des XVIIe et XVIIIe siècles du Louvre rouvrent leurs portes au public avec un nouveau parcours muséographique.
Plus de 2 000 objets sont présentés dans l’ordre chronologique.
Ils sont répartis en 3 volets : le règne de Louis XIV et la Régence (1660-1725), le style rocaille (1725-1755), le néoclassicisme et le règne de Louis XVI (1755-1790).
Les arts décoratifs sous Louis XIV sont exposés dans les salles historiques du Conseil d’Etat. Le style rocaille et le néo-classicisme sont présentés dans l’aile nord de la cour Carrée, sous la forme de vitrines thématiques et de salons reconstitués (« period rooms ») avec leurs boiseries, mobiliers et éléments décoratifs d’origine issus de palais royaux et hôtels particuliers.
La collection d’objets d’art a été constituée principalement par deux grands ensembles exceptionnels : les meubles et objets issus du Palais des Tuileries et du château de Saint-Cloud, complétés par un versement du Mobilier national de chefs d’oeuvre de l’ébénisterie et de la tapisserie d’origine royale.
Les plus grands artistes de la décoration sont représentés comme l’ébéniste André-Charles Boulle, les orfèvres Thomas et François-Thomas Germain, les peintres et décorateurs Charles Brun et Jean-Baptiste Oudry.
Des chefs d’oeuvre et des salons.
Parmi les pièces les plus remarquables, le public découvrira le coffre d’or de Louis XIV réalisé en 1676 par l’orfèvre Jean Pitan. Entièrement revêtu d’une dentelle d’or aux motifs de fleurs, il servait à entreposer les parures précieuses du roi et des femmes de la famille royale.
Autre élément exceptionnel, une armoire provenant du Garde-Meuble de la Couronne, réalisée par André-Charles Boulle vers 1700-1720, garnie de bronze doré et de marqueterie.
Dans le style rocaille, la commode de la chambre bleue de Madame de Mailly, créée en 1742 par Mathieu Criaerd, se distingue par l’harmonie de ses teintes blanches et bleues. Rare vestige des commandes royales françaises du XVIIIe siècle, la Chocolatière de la reine Marie Leczinska, offerte par Louis XV et réalisée vers 1730 par Henri-Nicolas Cousinet, témoigne de l’orfèvrerie rocaille.
Les salons reconstitués (« period rooms ») évoquent la décoration somptueuse des palais royaux et princiers comme le château de Saint-Cloud et le palais des Tuileries, des hôtels particuliers comme Le bas de Montargis, Dangé, Chevreuse, et des résidences de campagne comme les châteaux de Voré et d’Abondant.
Parmi ces ensembles exceptionnels, le public découvrira le décor d’arabesques du salon du Château de Voré. Réalisé par Jean-Baptiste Oudry vers 1720, ce Trésor national est constitué de 9 panneaux représentant les divertissements champêtres. Autre précieux écrin, se déclinant dans les tons bleus et or, le cabinet de l’Hôtel de Villemaré-Dangé restitue l’atmosphère feutrée du milieu du XVIIIe siècle.
Le Louvre ouvre de nouvelles salles consacrées aux arts décoratifs de Louis XIV à Louis XVI, à partir du 6 juin. Des collections uniques au monde sur l’art de vivre à la française aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Une collection unique. Fermées il y a 10 ans, pour travaux de mise aux normes techniques, les 33 salles des objets d’art des XVIIe et XVIIIe siècles du Louvre rouvrent leurs portes au public avec un nouveau parcours muséographique.
Plus de 2 000 objets sont présentés dans l’ordre chronologique.
Ils sont répartis en 3 volets : le règne de Louis XIV et la Régence (1660-1725), le style rocaille (1725-1755), le néoclassicisme et le règne de Louis XVI (1755-1790).
Les arts décoratifs sous Louis XIV sont exposés dans les salles historiques du Conseil d’Etat. Le style rocaille et le néo-classicisme sont présentés dans l’aile nord de la cour Carrée, sous la forme de vitrines thématiques et de salons reconstitués (« period rooms ») avec leurs boiseries, mobiliers et éléments décoratifs d’origine issus de palais royaux et hôtels particuliers.
La collection d’objets d’art a été constituée principalement par deux grands ensembles exceptionnels : les meubles et objets issus du Palais des Tuileries et du château de Saint-Cloud, complétés par un versement du Mobilier national de chefs d’oeuvre de l’ébénisterie et de la tapisserie d’origine royale.
Les plus grands artistes de la décoration sont représentés comme l’ébéniste André-Charles Boulle, les orfèvres Thomas et François-Thomas Germain, les peintres et décorateurs Charles Brun et Jean-Baptiste Oudry.
Des chefs d’oeuvre et des salons.
Parmi les pièces les plus remarquables, le public découvrira le coffre d’or de Louis XIV réalisé en 1676 par l’orfèvre Jean Pitan. Entièrement revêtu d’une dentelle d’or aux motifs de fleurs, il servait à entreposer les parures précieuses du roi et des femmes de la famille royale.
Autre élément exceptionnel, une armoire provenant du Garde-Meuble de la Couronne, réalisée par André-Charles Boulle vers 1700-1720, garnie de bronze doré et de marqueterie.
Dans le style rocaille, la commode de la chambre bleue de Madame de Mailly, créée en 1742 par Mathieu Criaerd, se distingue par l’harmonie de ses teintes blanches et bleues. Rare vestige des commandes royales françaises du XVIIIe siècle, la Chocolatière de la reine Marie Leczinska, offerte par Louis XV et réalisée vers 1730 par Henri-Nicolas Cousinet, témoigne de l’orfèvrerie rocaille.
Les salons reconstitués (« period rooms ») évoquent la décoration somptueuse des palais royaux et princiers comme le château de Saint-Cloud et le palais des Tuileries, des hôtels particuliers comme Le bas de Montargis, Dangé, Chevreuse, et des résidences de campagne comme les châteaux de Voré et d’Abondant.
Parmi ces ensembles exceptionnels, le public découvrira le décor d’arabesques du salon du Château de Voré. Réalisé par Jean-Baptiste Oudry vers 1720, ce Trésor national est constitué de 9 panneaux représentant les divertissements champêtres. Autre précieux écrin, se déclinant dans les tons bleus et or, le cabinet de l’Hôtel de Villemaré-Dangé restitue l’atmosphère feutrée du milieu du XVIIIe siècle.
Re: Le Louvre, Paris
Leonard de Vinci exposition exceptionnelle
24 octobre 2019 au 24 février 2020
Uniquement sur réservation sur internet
15 euros
24 octobre 2019 au 24 février 2020
Uniquement sur réservation sur internet
15 euros
Re: Le Louvre, Paris
Chacun a envie de rencontrer la Joconde, merci de faciliter la visite de tous en restant un bref moment ». Il est surréaliste, ce panneau en français et en anglais placé devant Monna Lisa (Monna avec deux « n », abréviation de Madonna ou madame en italien), dans la salle des Etats du musée du Louvre qu'elle vient de regagner, le 7 octobre, après des travaux et un déménagement provisoire cet été.
Un bref moment ? Ce lundi, « la Joconde » ne nous a jamais paru aussi inaccessible. Il faut suivre une file comme à l'aéroport pour arriver jusqu'à elle. Une fois devant, les touristes la regardent à peine, concentrés sur leur selfie. Un gardien vous invite à circuler avec de grands moulinets de bras. Une vitre pare-balles très épaisse éloigne encore plus l'icône de toute approche sensible.
« La Joconde » attire tellement les foules et les smartphones brandis qu'elle ne descendra même pas dans l'exposition prestigieuse du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, dans les espaces du hall Napoléon, à partir du 24 octobre. La faire trôner au cœur de la rétrospective consacrée au maître italien provoquerait des embouteillages ingérables pour le personnel.
Un bref moment ? Ce lundi, « la Joconde » ne nous a jamais paru aussi inaccessible. Il faut suivre une file comme à l'aéroport pour arriver jusqu'à elle. Une fois devant, les touristes la regardent à peine, concentrés sur leur selfie. Un gardien vous invite à circuler avec de grands moulinets de bras. Une vitre pare-balles très épaisse éloigne encore plus l'icône de toute approche sensible.
« La Joconde » attire tellement les foules et les smartphones brandis qu'elle ne descendra même pas dans l'exposition prestigieuse du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, dans les espaces du hall Napoléon, à partir du 24 octobre. La faire trôner au cœur de la rétrospective consacrée au maître italien provoquerait des embouteillages ingérables pour le personnel.

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